Au-delà de la vie
Auteurs   Diouf, Sandrine (Auteur)
Paban, Clara (Auteur)
Edition  M. Lafon : Neuilly-sur-Seine , DL 2014
Collation   1 vol. (269 p.)
Illustration   couv. ill. en coul.
Format   23 cm
indice Dewey   920
ISBN   978-2-7499-1740-5
Prix   16,95 EUR
Langue d'édition   français
Sujets   Diouf, Mouss(1964-2012) -- Biographies
Maladies cérébrovasculaires -- Récits personnels
Thèmes   Récits vécus/Témoignages
maladie
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Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Waziers 1596540003445 RT DIO AAdulte / Récits/témoignagesDisponible
Résumé : Elle l’a toujours aimé inconditionnellement, malgré ses virées nocturnes, son insouciance, son inconséquence, parfois : Mouss respirait la joie de vivre… Ils venaient d’avoir un fils, Isaac, et après quelques galères consécutives à son départ de Julie Lescaut, Mouss Diouf reprenait espoir : le 23 février 2009, devant 500 personnes du Tout-Showbiz, il présentait son nouveau spectacle : "Naturellement humain". Soudain, dans la salle, les rires s’arrêtent. Mouss perd le contrôle, suffoque, divague : on doit baisser le rideau. C’est un premier AVC, avec complications rénales. Un autre va suivre, qui le plonge dans un coma que les médecins jugent définitif. Pendant trois ans, Sandrine va se battre. Durant les cinq mois de coma, elle parle sans cesse au malade inconscient, et invite ses amis à l’imiter : de Franck Dubosc à l’indéfectible Véronique Genest en passant par Johnny Depp et Vanessa Paradis, leurs témoignages vont offrir à la jeune femme une image de Mouss qui augmentera encore son amour pour lui. Suivent deux ans de rééducation, les efforts inimaginables du "miraculé", le retour à la maison, enfin… Mais aussi, pour Sandrine, qui a dû reprendre son travail, les horaires épuisants, ses deux enfants à protéger, les déchirements familiaux, les "surprises" du fisc… Lorsque, le 4 juillet 2012, son mari lui déclare tendrement : "Je suis paisible" avant de bientôt quitter ce monde de combat, elle n’est plus que l’ombre d’elle-même. Aujourd’hui, Sandrine se répare. Mais ne regrette rien. Ces trois ans de lutte auront permis au petit Isaac de voir son père marcher, lui parler, jouer avec lui. Il l’aura connu, il pourra se souvenir.