Quatre-vingt-treize
Titre volume  Les romans de Victor Hugo N°12
Compl. Titre  PREMIERE PARTIE-EN MER. LIVRE PREMIER : Le bois de la saudraie, LIVRE DEUXIEME : La corvette "claymore", LIVRE TROISIEME : halmalo, LIVRE QUATRIEME : Tellmarch, DEUXIEME PARTIE-A PARIS. LIVRE PREMIER : Cimourdain, LIVRE DEUXIEME : Le cabaret de la rue Paon, LIVRE TROISIEME : La convention, TROISIEME PARTIE-EN VENDÉE. LIVRE PREMIER : La Vendée, LIVRE DEUXIEME : Les trois enfants, LIVRE TROISIEME : Le massacre de Saint-Barthélemy, LIVRE QUATRIEME : La mère, LIVRE CINQUIEME : "In Daemone Deus", LIVRE SIXIEME : C'est après la victoire qu'a lieu le combat, LIVRE SEPTIEME : Féodalité et révolution
Auteurs   Victor HUGO (Auteur)
Edition  Editions Rencontre Lausanne : Lausanne , 1960
Prix   10
Langue d'édition   français
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Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Waziers 1596540135115 800 HUG R/12Adulte / Armoires hautes rez-de-chausséeDisponible
Résumé : Quatre-vingt-treize Dans la production littéraire prodigieuse de Victor Hugo, "Quatre-vingt-treize" est la dernière œuvre de l'exil, une vaste fresque historique publiée en 1874, entre la première édition des "Châtiments" et la dernière série de "La Légende des siècles". C'est donc une œuvre de la maturité, celle d'un homme éprouvé, fort de ses combats, de ses engagements, de sa réputation, au sommet de sa puissance dramatique. Comme son titre l'indique, "Quatre-vingt-treize" est l'épopée de la Révolution française, racontée à travers trois personnages symboliques : un vieil aristocrate, le marquis de Lantenac, son neveu, Gauvain, un noble rattaché aux humbles, et un homme du peuple, Cimourdain, père adoptif de Gauvain. Ce sont donc les liens familiaux qui unissent ces personnages avant de les voir plonger dans la tourmente des événements et lutter les uns contre les autres. Soit par convictions de rang et de classe, soit par raison, soit encore pour un idéal. Dans l'effervescence des actes sanguinaires, seul le peuple, consciemment ou inconsciemment, semble s'imposer en héros. Résonnant comme en écho aux turbulences de la Commune, l'œuvre délivre les préoccupations sociales et humanistes d'Hugo, son idée de la fatalité, dans une imposante lutte entre le bien et le mal.