Grandeur et misère du corsaire Joseph Bavastro |
Compl. Titre | 1760-1833 |
Auteurs | Jaeger, Gérard A. (Auteur) |
Edition | Éd. des Écrivains : Paris , 1999 |
Collation | 291 p. |
Illustration | ill., couv. ill. en coul. |
Format | 21 cm |
indice Dewey | 92 |
ISBN | 2-84434-073-3 |
Prix | 129 F |
Langue d'édition | français |
Sujets | Bavastro, Joseph(1760-1833) -- Biographies Course , Guerre de -- France -- 1789-1815 |
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 | |
|
Résumé : Le corsaire Joseph Bavastro fait partie de ces navigateurs d'exception dont l'Histoire a conservé la légende, les hauts faits d'armes et les anecdotes truculentes. Né à Gênes le 26 mars 1760, celui qu'on appela familièrement le "Jean Bart niçois" traversa l'une des périodes les plus troublées de l'Histoire : engagé sous le pavillon fleurdelysé à l'âge de quinze ans, il connaîtra la Révolution, l'accession du comté de Nice à la République, les turbulences de l'Empire et les deux Restaurations, jusqu'à l'avènement de Louis-Philippe. Marin loyaliste, armateur généreux, corsaire intrépide, il servit la République et l'Empire avec passion, souvent au prix de sa fortune personnelle et plus d'une fois au risque de sa vie. Intraitable face aux coalitions européennes et sans pitié pour les Anglais, il passe pour avoir été le dernier rempart de Napoléon en Méditerranée. Il mourut à Alger le 10 mars 1833, sur cette terre d'Afrique devenue française en même temps que lui. Rocambolesque existence que celle de cet aventurier des mers apatride, ami d'enfance de Masséna et compagnon de route de Simon Bolivar aprè 1815, dont les lettres de course étaient l'unique passeport et la Légion d'Honneur sa légitimité devant l'Histoire...
Notes : Bibliogr. p. 267-272
Notes : Bibliogr. p. 267-272
Connectez-vous pour poster un commentaire