La conquête de Plassans
Titre volume  Les Rougon-Macquart
Auteurs   Zola, Émile (Auteur)
Edition  Nouvelle librairie de France : Paris , 1991
Collection   Collection Nationale des Grands Auteurs
Prix   20E
Langue d'édition   français
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Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Waziers 1596540131025 800 ZOL CAdulte / Armoires hautes rez-de-chausséeDisponible
Résumé : La conquête de Plassans - T4 de la saga des Rougon Macquart La famille Mouret, composée de Marthe Rougon et de François Mouret, cousins germains, et de leurs trois enfants Octave, Serge et Désirée, mène une retraite heureuse à Plassans après avoir abandonné leur commerce de vin en gros à Marseille. Le jardin de la maison des Mouret, situé entre la Mairie favorable à l'Empereur et la villa Rastoil où vit un magistrat royaliste est la fierté de François : il aime y voir pousser ses légumes et fleurir ses arbres fruitiers. Ayant des pièces inoccupées, François décide de les louer à un prêtre venu de Besançon, l'abbé Faujas, homme noir, accompagné de sa mère entièrement dévouée à sa cause. L'installation de Foujas est synonyme pour la famille Mouret de destruction : l'abbé prend peu à peu possession de la demeure et fait éclater la vie calme et bien réglée de François. De plus, l'arrivée de l'abbé à Plassans n'est pas un hasard, il agit secrètement pour le régime impérial : sa mission est d'établir son autorité morale et de réconcilier les partisans de la Monarchie et les partisans Bonapartistes. Pour cela il use de son influence qu'il a sur les femmes de la ville et surtout sur Marthe mais il bénéficie également de l'aide précieuse de Félicité Rougon. Marthe prend une part active dans le projet que lui a suggéré l'abbé : la création d'un établissement pour aider les jeunes filles en perdition "l'œuvre de la Vierge". Cet engagement la fait glisser dans la dévotion et dans la folie et entraîne l'éclatement de sa famille. François n'ayant plus de pouvoir chez lui se retranche dans son bureau, passe des journées immobile et finit par être interner de force. Cet internement le rend vraiment fou et le pousse au meurtre. Après une visite de sa femme et de son oncle Antoine Macquart qui laisse volontairement la porte de la cellule ouverte, François s'évade et retourne chez lui. Il y constate la destruction de son jardin et décide d'incendier son ancienne demeure. Il périt brûler ainsi que Foujas et sa mère.