Dieux, déesses et héros de la Rome antique |
Auteurs | Schmidt, Joël (Auteur) |
Edition | éd. Molière : Paris , 2003 |
Collection | Splendeurs |
Collation | 132 p. |
Illustration | nombreuses ill. en coul., couv. et jaquette ill. en coul. |
Format | 35 cm |
indice Dewey | 200292.13 |
ISBN | 2-84790-005-5 |
Prix | 23 EUR |
Langue d'édition | français |
Sujets | Mythologie romaine |
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Résumé : Collection Splendeurs . Préface de Pierre Brunel.
Voici un livre neuf, suggestif et nécessaire. On a pris l'habitude en effet d'associer la mythologie grecque et la mythologie latine, au point de tendre à les confondre. Joël Schmidt a pris un parti tout différent, et il a eu raison. Il a traité, dans un volume séparé, d'une mythologie romaine distincte, qui trouve en elle-même - sa raison d'être. Par la culture dont nous avons hérité, Jupiter, Junon, Mercure, Vesta nous sont devenus aussi familiers que l'étaient à Montaigne les rues de la Rome antique. Mais il faut se perdre aussi avec délices dans la multitude des divinités familières, des divinités locales et agricoles, des divinités allégoriques qui donnent à la mythologie romaine sa saveur particulière. Judicieusement, l'auteur du présent livre a commencé par là. Parmi ces divinités prétendues mineures, j'aimerais retenir, plutôt que Vertumne, représentant le changement et les métamorphoses, le dieu Terme (Terminus). Il dessine la limite qu'historiquement les Romains ont eu le tort de vouloir franchir, par excès. Mais il représente surtout celle par laquelle leur mythologie si riche et toujours vivante ne pouvait se laisser enfermer.
Notes : Bibliogr. p. 132
Voici un livre neuf, suggestif et nécessaire. On a pris l'habitude en effet d'associer la mythologie grecque et la mythologie latine, au point de tendre à les confondre. Joël Schmidt a pris un parti tout différent, et il a eu raison. Il a traité, dans un volume séparé, d'une mythologie romaine distincte, qui trouve en elle-même - sa raison d'être. Par la culture dont nous avons hérité, Jupiter, Junon, Mercure, Vesta nous sont devenus aussi familiers que l'étaient à Montaigne les rues de la Rome antique. Mais il faut se perdre aussi avec délices dans la multitude des divinités familières, des divinités locales et agricoles, des divinités allégoriques qui donnent à la mythologie romaine sa saveur particulière. Judicieusement, l'auteur du présent livre a commencé par là. Parmi ces divinités prétendues mineures, j'aimerais retenir, plutôt que Vertumne, représentant le changement et les métamorphoses, le dieu Terme (Terminus). Il dessine la limite qu'historiquement les Romains ont eu le tort de vouloir franchir, par excès. Mais il représente surtout celle par laquelle leur mythologie si riche et toujours vivante ne pouvait se laisser enfermer.
Notes : Bibliogr. p. 132
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